Aux Federations et Syndicats (circular)

1937-10-05 016b-0003-005 - 3 - sacrifices accompli par ces prolétaires dans leur lutte pour le maintien des postulats syndicaux de l'Union Générale des Travailleurs et de l'ordre révolutionnaire. Quant aux relations de l'Union G&...

Full description

Bibliographic Details
Main Author: Rodríguez Vega, José
Institution:MCR - The Modern Records Centre, University of Warwick
Language:English
French
Published: 05 October 1937
Subjects:
Online Access:http://hdl.handle.net/10796/95117250-518C-4656-BA33-EB33C6B32C66
http://hdl.handle.net/10796/CF8FB969-07D4-400A-9E4F-3EF6DDD5FCFC
Description
Summary:1937-10-05 016b-0003-005 - 3 - sacrifices accompli par ces prolétaires dans leur lutte pour le maintien des postulats syndicaux de l'Union Générale des Travailleurs et de l'ordre révolutionnaire. Quant aux relations de l'Union Générale avec les Partis politiques et avec la Confédération Nationale du Travail, on approuva de renouer la relation traditionnelle avec le Parti Socialiste Ouvrier Espagnol, et de continues les cordiales relations avec le Parti Communiste et avec la C.N.T. Pour les règles de conduite pour les réquisitions et contrôles l'accord fut le suivant : " L'Union Générale des Travailleurs estime que les réquisitions qui ne sont pas autorisées par le Gouvernement doivent cesser ; que ce dernier doit arriver rapidement à la nationalisation des principales industries et au contrôle ouvrier." Tous les accords, excepté les deux premiers concernant la situation politique et l'appui au Gouvernement, furent pris à l'unanimité. Pour ce qui est de l'accord pour le maintien de relations cordiales avec le Parti Communiste, il est intéressant de signaler qu'il» fut pris après que soient connus les discours de la Députée communiste "Pasionaria" et du Ministre de l'Instruction Publique Jesus Hernandez, discours critiquant le travail ministériel du camarade Largo Caballero et par lesquels on a voulu justifier la rupture aveo les communistes. Dans cette assemblée pleinière, et devant la nécessité pour l'Union Générale, qui n'avait pas réuni son Comité National depuis un an, déxaminer avec ampleur tous les problèmes qui attirent actuellement l'attention de la classe ouvrière, on décida de faire aussitôt une Assemblée pleinière ordinaire. Alarmés par l'attitude de la Commission executive de l'Union qui, c'était visible d'après ses notes officieuses, n'aidait pas l'action du Gouvernement,-qui avait rompu avec le Parti Communiste,-malgré 292/946/16b/4(iii)
Physical Description:TEXT