Aux Federations et Syndicats (circular)

1937-10-05 016b-0003-006 les accords de l'Assemblée pleinière, qui était même arrivé à refuser sa participation à l'acte dans lequel le Gouvernement parlait au monde entier pour exprimer une attitude de pro...

Full description

Bibliographic Details
Main Author: Rodríguez Vega, José
Institution:MCR - The Modern Records Centre, University of Warwick
Language:English
French
Published: 05 October 1937
Subjects:
Online Access:http://hdl.handle.net/10796/A5BCF9DA-E522-4F55-B133-869392A301A6
http://hdl.handle.net/10796/AE185D5C-A5A1-4DE5-ACC9-347EB6E996D7
Description
Summary:1937-10-05 016b-0003-006 les accords de l'Assemblée pleinière, qui était même arrivé à refuser sa participation à l'acte dans lequel le Gouvernement parlait au monde entier pour exprimer une attitude de protestation, contrairement aux accords d'adhésion au Gouvernement pris par l'Assemblée pleinière, et, voyant que la promesse faite par ladite Commission Executive de faire une Assemblée pleinière ordinaire n'était pas tenue, les représentants de vingt-deux Fédérations Nationales s'adressèrent à celle-ci pour demander, d'après ce qui est établi dans les Statuts de l'Union Générale, que l'Assemblée pleinière du Comité National ait lieu ( document n° 1 ). La réponse donnée par la Commission executive rut l'application de l'article 9 des Statuts de l'Union Générale, disposant que les Fédérations devant deux trimestres seront portées absentes. Or, la Commission executive n'a pas faculté pour appliquer cet article, qui fut pourtant employé pour 14 Fédérations parmi celles qui demandaient l'Assemblés pleinière, ainsi que pour 15 autres Fédérations qui ne l'avaient pas demandée. L'existence d'un aussi grand nombre de Fédérations débitrices de l'Union Générale s'explique par ce qu'elles ont traversé jusqu'à février 1936, une période de persécution féroce envers les organisations prolétariennes, qui avaient à peine eu le temps de jouir d'un régime de liberté et qui, depuis Juillet 1936, s'occupaient principalement de la guerre. On a rapporté que la Commission executive, avant cet accord, refusa à quelques Fédérations Nationales l'encaissement de leurs cotisations, sous divers prétextes ; manque de matériel, liquidations, manque de timbres, etc., afin de pouvoir par la suite des porter absentes. Dans l'Union Générale des Travailleurs, il n'existe au un cas de cette sorte; la Commission Executive est même arrivée à porter absent le Syndicat Minier, un des remparts de l'Union Générale des Travailleurs 292/946/16b/4(iv)
Physical Description:TEXT